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Hypophosphorémie en réanimation: questions et réponses

Hypophosphorémie en réanimation: questions et réponses
janvier 12, 2017BIOLOGIEEQUILIBRE HYDROMINERAL IONOGRAMME

Questions et réponses

I/

A – Les phosphates représentent le principal tampon intracellulaire et urinaire

Vrai

B – Le phosphore régule la synthèse du 2,3 diphosphoglycérate et intervient ainsi dans la délivrance d’oxygène aux tissus

Vrai

C – Le phosphore participe directement à la fonction de transporteur d’oxygène de l’hématie

Vrai

D – La répartition dans l’organisme du phosphore est assez superposable à celle du calcium

Vrai

E – La phosphatémie est comprise entre 1,40 et 1,80 mmol.L–1

Faux : la phosphatémie est de 1 mmol.L–1 avec des variations allant de 0,80 à 1,40 mmol.L–1

II/

A – L’insuline est responsable d’une consommation accrue de phosphore

Vrai

B – L’alcalose respiratoire entraîne une sortie massive du phosphore contenu dans les cellules

Faux : c’est l’inverse

C – La phosphorémie est soumise à un rythme nycthéméral

Vrai : le phosphore présente une variation journalière de 0,5 mmol.L–1 avec un nadir le matin entre 8 heures et 12 heures et un pic entre 2 heures et 6 heures

D – L’absorption du phosphore alimentaire se fait exclusivement dans le jéjunum et l’iléon

Faux : l’absorption se fait tout le long du tube digestif, même si l’absorption au niveau du grêle est de l’ordre de 65 % du phosphore ingéré

E – L’absorption des phosphates alimentaires est inversement proportionnelle à l’apport en calcium

Vrai

III/

A – Les ions calcium et magnésium diminuent l’absorption du phosphore en se chélatant avec celui-ci dans la lumière digestive

Vrai

B – Cinquante pour cent des phosphates ingérés sont éliminés dans les selles

Faux : seuls 10 % sont éliminés dans les selles

C – Il existe un cycle nycthéméral de l’excrétion urinaire du phosphore

Vrai

D – La parathormone diminue l’excrétion urinaire du phosphore

Faux : c’est l’inverse

E – La vitamine D et l’hormone de croissance diminuent l’excrétion urinaire du phosphore

Vrai

IV/

A – Une hypophosphorémie doit être considérée comme sévère en dessous d’une valeur de 0,4 mmol.L–1

Vrai : les hypophosphorémies inférieures à 0,4 mmol.L–1 s’accompagnent fréquemment de signes cliniques imposant un traitement

B – L’acidocétose diabétique s’accompagne d’une incidence élevée d’hypophosphorémie

Vrai : l’incidence des hypophosphorémies est de 15 % chez les diabétiques en acidocétose avec une mortalité 4 fois supérieure pour les patients présentant une hypophosphorémie sévère

C – La diffusion du phosphore à travers la membrane cellulaire est un processus actif consommant de l’énergie

Faux : la diffusion est passive

D – L’hypersécrétion d’adrénaline s’accompagne d’une hypophosphorémie par transfert et consommation intracellulaire

Vrai : il en est de même pour l’insuline et le glucagon

E – Une polyurie osmotique entraîne une perte urinaire de phosphore

Vrai

V/

A – En alimentation parentérale exclusive, une hypophosphorémie sévère peut compliquer des apports glucosés importants

Vrai

B – La prescription de bêta-2-adrénergiques peut s’accompagner

 d’une hyperphosphorémie

Faux : c’est l’inverse

C – Une hypophosphorémie sévère peut donner un tableau clinique de pseudosyndrome de Guillain et Barré

Vrai

D – Chez un patient présentant un infarctus du myocarde à la phase aiguë, une hypophosphorémie peut être associée à une tachycardie ventriculaire

Vrai

E – Une hypophosphorémie sévère peut s’accompagner d’une défaillance respiratoire aiguë

Vrai : la déplétion en phosphore altère la mécanique diaphragmatique

VI/

A – La phosphorémie est un reflet fidèle du pool phosphoré total

Faux

B – Chez les patients atteints de fuite urinaire de phosphore, la supplémentation orale doit être associée à l’apport de vitamine D

Vrai

C – L’administration de dipyridamole réduit la fuite urinaire de phosphore

Vrai

D – Lors d’une nutrition parentérale exclusive, une dose de 20 mmol de phosphore pour 1 000 calories glucidiques est adaptée aux patients hypophosphorémiques modérés

Vrai

E – Une dose de 0,25 mmol.kg–1 de phosphore à perfuser en 4 heures est nécessaire en présence d’une phosphorémie inférieure à 0,16 mmol.L–1 ou en présence de signes cliniques de gravité

 

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